Suite à une campagne sur le jeu Rome total war, j'ai écrit une petite nouvelle dans le but de l'illustrée. Soyez indugent je ne suis pas écrivain...
Maintenant, il me faut avoir la volonté et le temps de produire quelques dessins en rapport. Si jamais ça vous inspirent lançons une idée de dessins sur ce thème.
Troisième année du règne de Bomilcar I.
L’incursion en terre Egyptienne tournait au désastre. Le reste de l’armée Carthaginoise se repliait vers l’ouest en tentant désespérément de fuir les terribles chars Egyptiens qui avait causés tant de pertes à ses troupes.
Mais rien n’y faisait, les Egyptiens gagnaient chaque jour du terrain et on voyait maintenant un nuage de poussière à l’horizon, signe que leurs troupes étaient sur le point de rattraper les Carthaginois.
La situation devenait donc critique, et il fallait maintenant prendre une décision. Mais malheureusement les choix étaient restreints. Soit on attendait que les Egyptiens nous rattrapent, soit on tentait de les ralentir en sacrifiant une partie de nos troupes.
Finalement après réflexions nous décidâmes de les attendre. Le gros des troupes pris le chemin de Carthage tandis que notre général bien aimé ainsi que les 6 régiments d’infanterie royale s’apprêtèrent à combattre.
J’étais à l’époque une toute jeune recrue et mon affectation au sein d’un régiment d’élite de la garde royale était due plus à mon origine sociale qu’a mes réels talent guerriers. Durant les six derniers mois, j’avait été relativement épargné bien qu’ayant du marcher sous un soleil de plomb pendant plusieurs semaines je n’avais pas encore combattus les Egyptiens, mon régiment ayant été jusque là gardé en réserve.
Le choix du site de la bataille fut relativement facile, en effet pas loin de l’endroit ou nous nous étions arrêté, se trouvait une colline flanquée par un piton rocheux qui conviendrais parfaitement pour se fortifier et attendre le choc des troupes Egyptiennes. Une fois sur la colline notre général nous plaça de façons à ce que nous présentions une ligne sans faille, partant du piton rocheux et décrivant à peut près la forme d’un hameçon. La colline faisait à peut près 300 m de haut et une fois nos régiments placés, l’ensemble était vraiment impressionnant. Nous avions pris le soin de nettoyer nos armures et nos boucliers couvert de sable pour qu’ils brillent à nouveaux. Les rares prisonniers que nous avions pu faire furent décapiter et leurs tête placées sur des pieux au bas de la colline en guise d’avertissement funèbre pour nos ennemis.
La nuit qui précéda la bataille fut sans doute la pire de ma courte existence. Au fur et à mesure que la nuit avançait, je sentais la peur grandir en moi. Comment pouvions nous avoir la moindre chance de survivre. En effet nous n’étions pas 500 alors que les Egyptiens eux serait une multitude. Pharaon en personne commandais l’armée Egyptienne accompagné de toutes ses troupes d’élite, un nombre incalculable d’archers des piquier du Nil, des hacheurs du désert, des chameliers archers et bien d’autres encore. De plus j’avait un mal fou à supporter le climat du désert. Des nuits glaciales suivies de journées étouffantes où nous cuisions littéralement dans nos armures.
Au petit matin les Egyptiens étaient la. Pharaons dans un élan de bonté envoya une ambassade pour discuter des modalités de notre reddition. C’était mal connaître notre général. Suite à notre refus et aux insultes proférer à l’encontre de sa personne, ou il était question de rapport qu’il aurait pu avoir avec un de ses chameaux, il commença à déployer ses troupe en prenant bien soin de nous encercler complètement. L’attente qui suivi notre encerclement me parut interminable. Qu’attendaient ils ? bien sur tous le monde savait que l’infanterie Royale Carthaginois était l’élite de l’élite, et qu’au combat nul n’était capable de la vaincre ni les grecques, ni les romains et certainement pas un régiment Egyptien. Mais là ! Au mieux, nous aurions à combattre à un contre trois. De plus notre manque total d’unité de tireurs nous mettaient dans une situation désespérée.
Finalement vers midi ils se décidèrent. Ils firent avancé leur archers et commencèrent à nous cribler de flèches. Malgré nos lourdes armures et nos boucliers, les hommes tombaient les un après les autres et au fur et à mesure nous resserrions nos rangs. Finalement, à bout de patience, ou par pécher d’orgueil, ne voulant pas laisser toute la gloire à ses archers, Pharaons envoya ses régiments de piquiers nubiens à l’assaut de nos positions. Le choc fut rude, et résultat très surprenant pour moi. Le manque d’expérience des troupes Egyptienne et l’absence totale d’armure fit qu’ils furent littéralement taillées en pièces, et qu’ils détalèrent la colline dans le plus parfait désordre ne songeant qu’a sauver leurs misérables vies. Leur retraite désordonnée fut accompagnée d’une formidable clameur et de cris de joie de notre part.
Durant toute l’après midi, les troupes Egyptiennes montaient à l’assaut de nos positions puis repartaient en courant, défait, démoralisé. Notre formidable discipline et notre cohésion sans faille semblait pouvoir venir à bout de toutes les armées du monde. Pourtant malgré nos succès, nous étions de moins en moins, et nous ne fumes bientôt plus assez nombreux pour pouvoir présenter une ligne continues indestructible.
Se fut à se moment qu’il firent à nouveau avancer leurs archers. Et cette fois, leurs tires furent bien plus meurtriers. Ils pouvaient maintenant nous prendre de tous cotés, et les tires effectuer sur nos flancs causaient de monstrueuses pertes à nos rang. Alors soudain les tires cessèrent. Nous n’étions même plus 300, à nos pieds gisaient une multitude de soldats Egyptien. Au moins eux ne reverraient plus jamais la vallée du nil. L’honneur était sauf. Les lourdes pertes que nous avions fait subir à l’armée de Pharaon lui interdisait désormais de continuer sa poursuite, et nos camarades étaient sauvés. Pourtant, tout n’était pas terminé. Pharaons fulminait de rage. Nous avions massacré la quasi-totalité de son infanterie, mais il, restait leur cavalerie et surtout les chars. Abominable chose que ces chars. Munis de faux ils pouvaient en passant entre nos troupes couper les jambes des malheureux qui se trouvaient sur leur passage et causé l’effrois des plus courageux.
Alors, pharaon déploya sa cavalerie. Nous étions maintenant dans une situation désespérante. D’un coté la cavalerie Egyptienne, de l’autre les chars. Durant le cour moment qui précéda la charge je pensait à ma femme, une jeune et jolie gauloise, fille d’un noble gaulois qui avait rejoint notre cause. Je n’aurais sans doute jamais la chance de la revoir, et l’enfant qu’elle attendait de moi n’aurait pas la chance de connaître son père. Leur avenir était sombre. Si j’avais comme mon frère choisi une carrière politique ou si je m’étais lancer dans le commerce d’ivoire comme ma femme me l’avait suggérer j’aurais pus voir grandir mon fils, car se seras un garçon j’en suis sur. Mais oublions cela mieux vaux la gloire, et si je meure se qui ne semble faire aucun doute maintenant, je suis certain que Baal m’accueillera bras ouvert.
Je m’étais perdu dans mes pensé quand notre chef de groupe hurla :
« Attentions phalange, tenez vous prêts. »
Revenant à moi je constatais que les Egyptiens s’étaient enfin décider à charger. Dans un dernier sursaut d’orgueil, nous fîmes fasse. Notre Général et le reste de sa garde dévalèrent la colline chargent en hurlant la cavalerie Egyptienne tandis que nous faisions fasse à la charge de Pharaons et de ses chars.
La mêlée qui sen suivit fut d’une rare violence, et des trésors de courage furent déployés de part et d’autre. Alors que nous étions sur le point de cédés, pharaons reçu un coup mortel au coté, et voyant leur chef gisant mort au milieu d’eux, l’armée Egyptienne tourna les talons et détala devant nous. De l’autre coté notre cavalerie était victorieuse, elle avait écrasé la cavalerie Egyptienne, et poursuivait maintenant le reste de l’armée Egyptienne, brisée et démoralisé. De notre coté, nous avons lâché nos piques, sortis nos glaives et nous nous somment lancés à la poursuite du reste de la garde de Pharaon.
Dans l’exaltation de la poursuite, je ne vit pas se fourbe qui se retourna sur son char et qui me décochât une flèche. Ho funeste destin pourquoi moi, pourquoi maintenant. Je meure, je le sais. Déjà le ciel se voile et un épais brouillard recouvre mes yeux. Compagnons, dites à ma femme que je suis mort en brave, racontez lui comment nous combattîmes, dite lui qui.. dite lui que je l’aime… dite lui que je regrette de ne pouvoir revenir au près d’elle, dite lui………
Sujet: petit récit 
Mar 25 Avr - 14:44
j'ai presque tout lu 
